Histoire : Ma copine Emilie

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Histoire


Histoire ajoutée le 13/04/2008
Épisode ajouté le 13/04/2008
Mise-à-jour le 03/07/2021

Ma copine Emilie

Tout d'abord, cette histoire est purement fictive. La fille qui se trouve dans l'histoire est une ancienne camarade de classe qui m'as autorisée à utiliser son prénom dans mes histoires (pas que dans mes histoires de chatouilles). A noter aussi que ce sujet sera composé de 3 histoires ! Une par jour de l'histoire. Voici la première. Donnez-moi votre avis. J'ai changé finalement car je dois bosser sur un autre sujet

J'oubliais, si il y a une règle d'écriture merci de me le signaler car j'écris mes histoires tout le temps comme ça. Bonne lecture.

Cette histoire se déroule un bel après-midi de mai. Nous sommes un jeudi. Il est quatorze heures. Nous sommes dans le gymnase du collège. Dans les vestiaires nous nous changeons et nous préparons pour le cours d’EPS. Comme d’habitude, les garçons de ma classe (nous sommes que sept pour dix-neuf filles) et moi-même nous sommes les premiers à aller nous asseoir dans les gradins, à attendre les filles pour que le cours puisse commencer. Cinq bonnes minutes après notre arrivée et une petite discussion habituelle avec le prof, un groupe de fille sort des vestiaires. Elles s’installent dans les gradins.
Professeur : Et bien mesdemoiselles. Où est le reste ?
Une des filles répond.
Adeline : Elles arrivent.
Un quart d’heure plus tard, le reste des filles arrive enfin dans les gradins. Puis le prof fait l’appel et nous commençâmes le sport prévu, à savoir du football.
La plupart des filles n’aiment pas ce sport, mais quelques unes si. Nous formons les équipes. Bien sûr, les garçons se sont mis ensembles. Il y avait quatre équipes. Deux équipes de filles commencèrent le premier match. Pendant ce temps, dans les gradins, mon équipe et l’équipe de filles restantes. Mon équipe (donc celle des garçons) est entrain de rigoler des filles qui jouent. Car bien entendu, elle jouent comme des « quiches ». Le capitaine de l’équipe fille restante me parle (je suis le capitaine de mon équipe).
Emilie : Vous avez pas besoin de vous moquez !
Moi : Mais je me moque pas !
Emilie : Et les autres ?
Moi : Ah laisse-les ! Ils sont stupides.
Emilie : Ils se marrent car on est nulles !
Moi : Je sais.
Emilie : Et bien, ça te dirait de faire un pari ?
Moi : Lequel ?
Emilie : Je te connais bien et je sais que tu es fétichiste de chatouilles.
Moi : Qui t’as dis ça ?
Emilie : Personne. Je le sais, c’est tout !
Moi : Tu veux me faire chanter ?
Emilie : Non. Comme je te l’ai dit, c’est un pari.
Moi : Et le pari ?
Emilie : Si vous gagnez, je me laisserai entièrement à toi.
Moi : Et si on perd ?
Emilie : Tu devras te balader en pyjama toute la semaine prochaine.
Moi : Alors on change le pari. Si on gagne, tu es à moi tout le week-end !
Emilie : D’accord.
Un coup de sifflet retentit. Les deux équipes de filles quittent le terrain et nous y allons. Le match sera quand même difficile puisqu’elles évoluent toutes en club. Dans mon équipe, je suis le seul. Le match commence. A la fin, le score est de un à zéro pour nous. Nous avons gagné. Puis vient la fin du cours. Nous allons tous dans les vestiaires. Une fois dehors, Emilie et moi discutons ensemble, à l’écart des autres. Nous avons deux heures de permanence donc nous en profitons. Nous sommes assis sur un banc.
Moi : Il semble que j’ai gagné le pari.
Emilie : En effet. Il faut dire que tu étais le seul à te battre aussi.
Moi : Clair ! Bon, discutons du pari.
Emilie : Je suis à toi une semaine entière. Alors quand commençons-nous ?
Moi : Je sais pas encore.
Emilie : Si on commençait maintenant ?
Moi : Ici ? A l’extérieur ?
Emilie : Ben oui. On s’en fout des autres !
Moi : Pas trop non. Tu sais que j’ai une réputation à garder !
Emilie : T’as raison. Disons demain, quatorze heures, puisque on a rien.
Moi : Mais où ?
Emilie : Je connais un coin où il n’y a pratiquement personne qui y va.
Moi : Ou ?
Emilie : Là-bas derrière ! Près des plateaux de hand.
Moi : Je vois ce que tu veux dire. Et bien alors à demain.
Je me lève du banc et part.

Le lendemain, après une matinée et un début d’après-midi lourd (Anglais, Allemand, Français et maths le matin et Chimie l’aprèm), à quatorze heures, je suis au lieu du rendez-vous. Je regarde ma montre. Puis je vois arriver Emilie.
Moi : Pile à l’heure.
Emilie : Je suis très ponctuelle.
Moi : J’en doute pas.
Emilie : Alors, on commence ?
Moi : On se met où ?
Emilie : Derrière les arbres là-bas.
Moi : Ok.
On se met en place. Elle est assise contre l’arbre. Elle porte un débardeur rose, et un survêtement blanc.
Emilie : J’ai emmenée des cordes pour que tu m’attaches. Elles sont dans mon sac.
Je vais chercher les cordes puis je commence à attacher Emilie. Ses bras sont attachés à une branche chacun, son corps et attaché au tronc et ses jambes sont écartées.
Moi : Je te met un bâillon ?
Emilie : Pas la peine, personne n’entend d’ici.
Moi : Soit.
Je m’approche d’elle. Je commence à lui enlever sa chaussure droite. Délicatement. Elle porte des chaussettes roses. Je lui enlève l’autre chaussure et contemple ses pieds. Je lui retire ses chaussettes et regarde attentivement ses pieds ravissants. Du trente-huit.
Emilie : Tu veux bien m’enlever mon débardeur ? Il fait chaud.
En effet, il y a plus de trente degrés. Je lui retire son débardeur. Puis je vais chercher mon sac et en sort quatre objets : une plume, un gros pinceau, une brosse à dent électrique et une brosse à cheveux. Je prend d’abord la plume et m’approche de son pied droit. Puis je lui passe la plume sur sa plante de pied.
Emilie : AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH….
Je fais pareil avec l’autre pied.
- AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH….
Je me stoppe pour prendre maintenant la brosse à dents. Mais avant de continuer la torture, je lui attache les pieds ensembles. J’allume la brosse à dent et je la lui passe sur sa plante tout en remontant vers ses orteils.
- AH AH AH AH AH AH AH AH AH AH… arrête !!! AH AH AH AH !!!!
J’enlève la brosse à dents et commence à passer ma langue sur ses superbes plantes de pieds. Elle se tord de rire. Je passe ma langue entre ses orteils. Ses plantes ont un goût exquis.
- AH AH AH AH AH AH AH AH AH !!! Arrête… AH AH AH ! Je t’en prie !!! AH AH AH AH !
Finalement, je décide de stopper sa torture. Je la détache et elle se réchausse. Nous repartons tous les deux vers le collège.
Moi : Demain, on fait ça chez moi, mes parents ne sont pas là.
Emilie : D’accord !

Fin du premier épisode.

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