Histoire : Il y a cinq ans

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Histoire


Histoire ajoutée le 11/03/2008
Épisode ajouté le 11/03/2008
Mise-à-jour le 03/07/2021

Il y a cinq ans

Voici ce qui m'est arrivé en juillet 2003 dans une ville du sud de la France.


Je m'appelle Tim, j'ai maintenant 23 ans, j'en avais 18 lorsque j'ai vécu cette histoire. Je mesure 1m84 pour 78 Kg, je suis sportif et d'un caractère assez réservé (c'est ce que disent ceux qui me connaissent). Je suis d'un naturel curieux et attiré par l'action. Après avoir obtenu mon BAC j'ai décidé en 1998 de faire une préparation militaire parachutiste puis une préparation militaire commando.
J'ai donc été suivre un stage de 15 jours dans un régiment parachutiste en juillet 98 et c'est la que j'ai vécu la petite aventure que je vais vous raconter.

Je vous passe les détails sur ma PM commando et sur les activités sympas que nous avons suivies avec mes 26 autres camarades. A la fin du stage nous avons fait un raid de trois jours et trois nuits pendant lequel nous devions attaquer une base ennemie sans nous faire prendre. C'était vraiment exitant et nous nous sommes tous bien pris au jeu.
Malheureusement pour moi je me suis fait capturer le dernier jour par un sergent et un caporal chef qui jouaient le rôle des ennemis. Ils m'ont ceinturé pendant l'attaque de la base enemie et après m'avoir bandé les yeux et lié les mains dans le dos, ils m'ont emmené dans la ferme qui leur servait de poste de commandement je crois et ils m'ont attaché sur un lit de camp. Nous étions seul tous les trois car les autres ennemis étaient partis en camion à  la poursuite de mes camarades du commando qui avaient fuit après l'action.

Ils ont commencé à  m'interroger en me demandant mon nom puis en me demandant de révéler l'endroit ou mes camarades se cachaient. Comme il se doit en pareille situation, j'ai refusé de balancer mes potes et le sergent m'a dit à  l'oreille : « je te pari que tu parler ».
J'ai pris cela à  la rigolade car je connaissais un peu le sergent qui nous avait fait des cours pendant le stage et savais qu'il ne pouvait pas me faire de mal ; j'ai donc répondu sur le ton de la plaisanterie que je ne craignais rien et que je ne dirais rien.
Le sergent à  dis : « ok c'est ce que l'on va voir, on va tester ton degré de résistance ». Ils m'ont alors délié les poignets et m'ont ôté ma veste de treillis et mon tee-shirt avant de me rattacher les mais au dessus de la tête aux deux extrémités du lit. Ensuite ils ont détaché mes chevilles et m'on tiré sur les jambes pour me mettre en extension. Le sergent et le caporal chef ont ensuite chacun pris une de mes chevilles entre leurs jambes puis ont commencé à  me délasser les rangers. Je n'avais pas du tout envie de me laisser ainsi déshabiller et j'ai essayé de me débattre en pliant les genoux mais ils étaient plus forts que moi et je me suis vite retrouvé en chaussettes puis carrément pieds nus.
Ensuite, ils ont attaché séparément mes deux chevilles aux deux autres extrémités du lit. Il ne me restait plus que mon pantalon de treillis et le bandeau toujours sur les yeux.

Le sergent m'a alors dis « tu fais moins le mariole maintenant, on t'écoute ! ». J'ai eu tord de les provoquer à  nouveau en répondant sur un ton ironique que je me sentais mieux ainsi car il commençait à  faire chaud. Le sergent s'est alors mis assis à  califourchon sur mes cuisses et m'a demandé si j'étais capable de rester maître de mes nerfs. En même temps qu'il me demandait cela, j'ai senti ses doigts exercer de petites pressions sur mes cotes puis remonter vers mes aisselles. Dans un mouvement réflexe j'ai essayé de me protéger avec les mains mais j'étais bien attaché et il m'a été impossible de faire quoi que ce soit à  part éclater de rire.
Généralement c'est moi qui m'amuse ainsi avec mon petit frère de quatorze ans en lui chatouillant les cotes après l'avoir immobilisé sur son lit ou sur le mien. Je trouve très amusant de le voir ainsi impuissant subir des séances de chatouilles particulièrement lorsque nos parents ne sont pas là  (quand ils sont à  la maison, mon frangin hurle tellement fort qu'ils finissent par débouler dans la piaule et qu'ils mettent rapidement fin à  mon petit jeu).
Mais là  c'est moi qui pour la première fois de ma vie me retrouvais en mauvaise position. Le sergent s'est vite rendu compte que j'étais chatouilleur et que je craignais absolument sur tout le corps. J'ai tiré à  mort sur mes liens pour essayer de me libérer mais impossible de me défaire de mes liens. Les chatouilles continuaient sur mes cotes, mon ventre et sous mes aisselles ce qui m'a vite rendu hystérique.

Je pensais que ça allait s'arrêter là  et qu'il allait me dire : « bravo tu as bien résisté, on te libère maintenant ». Lorsqu'il m'a demandé une dernière fois de dire ou étaient mes camarades j'ai cru bon de lui répondre encore mort de rire « jamais je ne parlerai, plutôt crever ! ». Eh bien c'est ce qui a faillit m'arriver ! J'ai faillit crever de rire.
A partir de ce moment là  le sergent toujours assis sur moi s'est mis à  me chatouiller les aisselles sans arrêt. C'était insupportable, je hurlais de rire et je n'arrivais plus à  articuler des propos intelligibles. Mes doigts s'agitaient frénétiquement car c'est encore la seule partie du corps que je pouvais bouger. Au bout de dix minutes, j'étais en nage et je n'en pouvais plus. Le sergent est descendu du lit et j'ai pu reprendre mon souffle et une partie de mes esprits. Je n'avais jamais autant ri de ma vie.
Le sergent et le caporal chef m'ont alors saisi chacun un pied (46 fillette) et malgré ma résistance, ils ont tiré avec une main mes orteils vers l'arrière pour mettre mes pieds en extension. Mon sport favori étant la natation, je n'ai pas de corne sous les pieds et le sergent m'a fait la réflexion : « une vraie peau de bébé, je suis sur que tu vas apprécier le petit traitement maison ».
Ils se sont assis chacun d'un coté sur mes tibias, me tenant toujours mes petits petons en extension et ils ont commencé à  me gratter la plantes des pieds avec leurs ongles en faisant des allers et retours des orteils aux talons. Je ma souviens avoir hurlé et les avoir supplié d'arrêter tout de suite mais je n'ai pas pu en dire plus car je riais trop pour parler. Je me suis rendu compte que j'avais la plante des pieds encore plus sensible que je ne l'imaginais et sous les orteils c'était insoutenable. Ils se sont servi de quelque chose de métallique qui ressemblait à  des clés de voiture qu'ils ont passés entre mes doigts de pieds et la j'ai cru que j'allais crever. J'ai les orteils assez long et fins et surtout très très sensibles. Je me souviens que je bougeais la tête dans tous les sens en hurlant de rire et j'ai du faire des efforts pour ne pas me pisser dessus. Voyant mon état mes deux bourreaux étaient hilares eux aussi et ils semblaient prendre beaucoup de plaisir à  me voir ainsi à  leur merci.
Je n'aurai jamais cru me retrouver ainsi à  18ans attaché sur un lit de camp à  moitié à  poil en train de me faire chatouiller par deux mecs et c'est pourtant ce qui était en train de m'arriver.
Il m'était impossible de reprendre mon sérieux et de leur demander sèchement d'arrêter leur petit jeu car je n'étais plus maître de mes réactions. J'avais tous les nerfs à  fleur de peau et le moindre attouchement me faisait hurler de rire.
Mes deux bourreaux ont décidés de profiter de la situation jusqu'au bout et ils se sont ensuite amusé à  me gratter les orteils avec des petites brindilles puis avec un morceau de ficelle qu'ils ont fait coulisser doucement entre mes orteils.
Mes pieds étaient devenus hyper sensibles particulièrement sous la voute plantaire et sous les orteils et le moindre contact avec ma peau nu me faisait éclater de rire.
Au bout d'une heure de chatouilles non stop j'étais épuisé et les deux tortionnaires ont cessé leur petit jeu pour me laisser récupérer.
Le sergent m'a demandé « alors garçon, tu es calmé ? tu ne vas plus faire le mariole avec nous ? en tout cas tu n'est pas tellement maître de tes nerfs mon gars ! ».
Je ne savais plus quoi dire et plus quoi penser et pour ne pas perdre la face j'ai répondu sans réfléchir un truc du style « je ne savais pas que chez les paras on torturait les gens en les chatouillant, en tout cas ça m'étonnerait que ce soit comme ça que l'on fasse parler les prisonniers ».
Je pensais qu'ils allaient me détacher et que le jeu était fini. Eh bien j'avais tord de penser cela. Le caporal chef qui n'avait encore rien dit jusqu'à  présent se contentant de me chatouiller comme un malade à  proposé au sergent : « je connais un truc qui va lui clouer le bec. Je pari ma solde qu'il va craquer »

Je me suis alors demandé ce qui allait m'arriver. J'ai eu assez vite la réponse à  mon interrogation quand j'ai senti des chatouilles encore plus horribles que tout ce que j'avais subit jusque la sous mes pieds.
Le jeu du caporal chef était simple. Il s'agissait dans un premier temps de me passer les pieds au cirage noir avec la brosse à  cirage. Le sergent et le caporal chef s'appliquaient donc à  me brosser chacun un pied avec leur brosse à  cirage respectives sortie de leur sac à  dos.
Je peux vous dire que je crois qu'il n'y a rien de pire comme supplice. J'ai du battre le record de hurlements et de suppliques mais rien ne leur à  fait cesser leur action.
Au but de dix minutes ils se sont arrêtés, et ils m'ont ôté le bandeau des yeux pour me faire constater que mes deux pieds étaient totalement noirs.
Malgré le fait que j'étais ébloui par la lumière de la pièce et encore en train de suffoquer de rire, je les ai traités d'enfoirés.
Le caporal-chef m'a dit « ne t'en fait pas, on va nettoyer ça ! »
Ils sont partis de la pièce et j'ai essayé de me défaire pendant ce temps là , mais impossible, j'étais trop bien attaché.
Ils sont revenus une dizaine de minutes plus tard avec un seau d'eau tiède et chacun avec de petites brosses à  ongles.
J'ai compris ce qui allait m'arriver lorsque j'ai vu le caporal chef sortir un savon du sceau d'eau et me savonner les pieds après m'avoir reversé de l'eau dessus. Ils ont ensuite commencé à  me frictionner les plantes de pieds et les orteils avec leurs petites brosses et là  je n'ai pas pu résister. Les chatouilles étaient si intenses qu'en même temps que je hurlais de rire je me suis pissé dessus. Je ne pensais pas que je craignais autant les chatouilles sur le dessus et le coté des pieds et surtout sous les talons. Ils en ont encore bien profité, j'étais incapable de sortir une parole intelligible. Mes mains et mes doigts de pieds s'agitaient dans tous les sens mais rien ne réussissait à  atténuer l'intensité des chatouilles.
La torture a duré un bon quart d'heure au bout duquel mes pieds étaient propres et moi j'étais épuisé. Je ne sais pas ce qui s'est passé après car je me suis endormi dès qu'ils ont cessé leurs chatouilles et lorsque je me suis réveillé 4 heures plus tard j'étais allongé dans une autre pièce, mes rangers aux pieds et ma veste de treillis sur moi. L'exercice était terminé et j'ai ensuite retrouvé mes camarades qui ont cru que j'avais passé tous le temps de ma captivité à  dormir pendant que eu marchaient toute la nuit. Je n'ai pas oser raconter la séance que j'avais subit mais je ne suis as prêt de l'oublier.
Je n'ai jamais parlé de cet exercice après à  qui que ce soit mais j'en garde un terrible souvenir. Je connais maintenant mes limites de résistance physique et je ne défierais jamais plus personne comme j'ai pu le faire.
Ca peut paraître invraisemblable ce qui m'est arrivé mais c'est pourtant comme cela que ça s'est passé.
Je sais maintenant ce que mon petit frère endure quand je le chatouille même si je ne vais pas jusqu'à  l'attacher. Ca ne m'empêche pas de continuer car je ne trouve cela très drôle de voir mort de rire. Je pense que lorsqu'il sera un peu plus grand il aura droit à  une petite séance un peu plus dure histoire de voir si il craint autant que moi.

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