Histoire : Douce vengeance sur ma prof (Épisode 01)

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Histoire


Histoire ajoutée le 06/09/2023
Épisode ajouté le 06/09/2023
Mise-à-jour le 26/03/2024

Douce vengeance sur ma prof

Une partie de cette histoire est vraie, mais le plus important reste fictif. En CM2 on ne passait pas tout notre temps dans la même salle avec le même prof. On devait avoir quoi, peut-être 2 autres profs en plus de notre prof principal. Et justement, à l’un de ces cours, il a fallut que je me fasse punir pour je ne sais plus quoi. Certainement un oublie de matériel ou de travail à faire. Résultat, des lignes à copier. Ahhh, la punition des anciens temps. En retournant dans la classe avec ma prof principale, celle-ci me demande :

 

-        Je peux savoir pourquoi tu ne vas pas en récréation ?

-        J’ai une punition à faire…

-        Ah… bah tiens pour la peine je double ta punition.

 

Oui oui, vous avez bien entendu, elle a osé doubler ma punition. Encore plus de lignes à faire. Comment vous dire que j’étais assez dégouté et que j’avais bien envie de me venger.

 

(Fin du récit réel, la suite est fictive)

 

On appellera ma prof principale Violaine, une prof plutôt mignonne, brune, habillée d’un style classique pour une période de printemps avec, bien évidemment, des chaussures ouvertes. J’avais encore la haine après m’être pris la double, et je ne parle pas d’une doublette au foot. Je faisais mes lignes, mais mon esprit était ailleurs. Comment faire pour me venger ? D’ailleurs, quelle vengeance faire ? Et puis me revint à l’esprit une question que je me posait souvent : elle est vraiment jolie et douce. Je me demande si elle craint les chatouilles ? J’avais donc là un début à ma vengeance. Je devais lui apprendre les bonnes manières en la chatouillant. C’est vrai quoi, d’où un prof se permet de doubler une punition gratuitement, sans raison ? Problème, comment faire ? Est-ce que je la ligote, auquel cas il me faut quelque chose pour. Et comment la chatouiller. C’est alors que vint la pose toilettes. Soyons honnête, les plus grands plans ont toujours été élaborés aux toilettes. C’est le lieu de la réflexion et de la remise en question ultime. Par chance, en entrant, j’ai pu apercevoir qu’une partie était en travaux et que plusieurs cordes se trouvaient par terre. C’est donc ça être victime de la simplicité scénaristique ? Bref, j’avais de quoi  l’entraver. Me manque plus qu’un plan d’action et des armes. En revenant en classe, la prof me demande quand même d’aller en récréation. C’est vraiment sympa de sa part. Mais j’ai pas oublié ce qu’elle m’a fait. Au lieu de m’amuser avec les autres, j’étais plutôt en train d’inspecter la cours à la recherche d’une arme de destruction massive. Enfin, le type d’arme qui va la faire craquer hein, pas une bombe nucléaire… et bingo, je trouve des plumes et des brindilles. Je peux également entendre les gens crier à la simplicité scénaristique encore mais bon. J’ai maintenant mes armes. Plus qu’à trouver le plan d’action.

 

La fin de la journée passa tranquillement, jusqu’au moment où la fin des cours sonna. Je décida donc de rester un peut, en utilise prétexte de « je fini mes lignes ». 

 

-        Tu vas quand même pas finir ta punition ici ?…

-        Bah je ne sais pas. C’est dérangeant ?

-        Un peu que c’est dérangeant. Je ne vis pas ici. Bon… j’efface le tableau et je range mes affaires et après tout le monde sort. C’est compris ?

-        Compris…

 

Je la vois donc effacer le tableau. Et c’est donc là que le plan d’attaque commence ! Je me leva donc. Pensant que je circulerais pour ranger mes affaires ou autres, elle ne fit pas attention. Je déplaça quelques chaises et je me rapprocha d’elle. Et d’un coup, PAF, j’appuya sur ses flancs, de quoi lui donner une petite décharge qui la déstabilisa fortement, de quoi lui faire lâcher sa brosse et la faire reculer. Et en reculant, elle tomba sur la chaise que j’avais idéalement placée. 

 

-        Qu-qu’est ce que ?… je peux savoir ce qu’il te prends !? C’est super dangereux ! Imagine si je m’étais mal réceptionnée !

 

En regardant autour d’elle, elle vit que y’avait pas mal d’objets amortissants.

 

-        Ne vous inquiétez pas, tout était calculé.

-        Quoi ?…

 

Toujours sous le choc, j’en profita pour la ligoter rapidement. Les bras collés au ventre, le tout attachés au dossier de la chaise. Je pris une deuxième chaise, mis ses jambes dessus avant de les ligoter à celle-ci et enfin ligoter ses chevilles. Manque plus le papier cadeau et vous avez une prof surprise !

 

-        Mais tu as perdu la tête ou quoi !?

-        Ça semble totalement bizarre, j’en suis conscient. Mais j’ai pas du tout aimé la façon dont vous m’avez traité tout à l’heure. Doubler ma punition, c’est vraiment pas cool. Donc je veux me venger. Au moins, vous avez mon motif.

-        Donc maintenant, en tant que professeur, je n’ai plus le droit de punir ?

-        Punir oui, mais quand on fait une bêtise. J’ai déjà pris une punition, l’ardoise est donc effacée. Mais vous m’en avez remis une sans motif, donc il faut l’effacer désormais.

-        Bon… je vais être clair. Si tu me détache MAINTENANT, je fermerais les yeux. J’avoue que j’avais juste envie de te la doubler et c’était gratuit. Mais si tu me fais quoique ce soit, tu ne t’en sortiras pas qu’avec des lignes.

-        Dites pas ça, vous allez peut-être apprécier ce que je vais vous faire.

-        Et tu va me faire quoi ??

-        Hm… allez, pas de suspens. Je vais droit au but. Craignez vous les chatouilles ?

-        Qu-quoi ? Mais c’est quoi cette question ?

-        C’est pas cool de répondre à une question par une autre question.

-        Je m’en moque ! Je vois pas pourquoi je devrais te répondre ! Et tu n’as pas intérêt à me chatouiller !

-        Donc j’en conclus que vous les craignez ?

-        Ça ne veut rien dire. Tu serais fort déçu si tu avais des aprioris comme cela et que tu découvrais que je ne suis pas chatouilleuse.

-        Et bien découvrons ça !

 

Je sorti donc mon petit matériel. La plume me faisait vraiment de l’œil. Elle semblait si douce. Capable de faire craquer n’importe qui. Je m’amusa donc à la taquiner premièrement au niveau du cou.

 

-        Hmm… c’est… juste désagréable… t’as vengeance sera bien amère crois moi… hm…

-        Ce n’est que le début. 

 

Elle avait des manches courtes. Donc je pu atteindre ses aisselles sans trop de difficulté. Et là, ça commençait à devenir intéressant.

 

-        Pouffant de rire. Ça… ça reste juste désagréable…

-        Juste désagréable ? Vous semblez rire un peu non ? Vous pouvez me le dire si ça vous chatouille. 

-        Il en faudra plus pour me faire craquer !

-        Donc vous affirmez indirectement que vous êtes chatouilleuse ? Intéressant.

 

Et bam, elle l’a pas vu venir cette réponse. Cet amusement dura 1 ou 2 minutes supplémentaires, voyant que j’obtiendrai pas grand-chose d’autre à ce niveau là. Je décida de passer à la partie qui m’intéressait le plus, ses pieds. Beaucoup de personnes ne supportent pas qu’on caresse leurs pieds avec des plumes. En fait elle partie ? Je m’approchai donc de ses pieds et fit passer dans un premier temps la plume sur ses orteils sans enlever ses chaussures. Et cela eu une conséquence plutôt prometteuse. Elle bougea rapidement ses pieds.

 

-        On dirait que vous avez sentis un truc ?

-        Non sérieusement ? Juste une plume sur mes orteils… 

 

Je continua donc les va et viens sur ses orteils et la réponse est la même, mise à part le fait qu’elle semble se mordre la lèvre.

 

-        Que se passe-t-il ? Ça vous chatouille ?

-        Tu… n’obtiendras pas ce que tu veux… hm… hm…

-        Vous savez, il n’y a pas de honte à dire que cela vous chatouille. Voire même dire que vos pieds représentent votre point faible.

 

Bien entendu, je lui dis ça tout en continuant à lui chatouiller le dessus des orteils. Mais visiblement j’ai atteints les limites de cet endroit. Il est peut-être temps de lui enlever ses chaussures, chose que je fis donc. 

 

-        Bien, voyons voir ce que ça donne si je vous chatouille ici.

 

Elle essayait de garder un air impassible, certainement pour me faire douter et arrêter. Mais ça ne prend pas. La réaction qu’elle a eu pour ses orteils en dit long. Elle craint les chatouilles sous les pieds. Je commence donc à la caresser avec la plume, du haut en bas de ses pieds. Et la réponse fut assez satisfaisante.

 

-        Pouffant d’abord de rire. N-non… arrête… haha… ça… ça chatouille haha… Avant de rire. Stop !! C’est trop hahaha !!!

-        Ah ça y est, là ça vous chatouille !

-        Oui ça chatouille !!! Hahaha

-        Et maintenant je pense que je peux vous faire dire n’importe quoi, vous faire avouer n’importe quoi ?

 

Bien entendu, je n’arrêta pas les caresses ! En plus elle avait vraiment un rire mignon. Je m’amusa même à la taquiner à l’oral.

 

-        Alors, ça vous gratouille ou ça vous chatouille ?

-        Riant aux éclats. Ça me chatouille !! Ça me chatouille !! Arrête !!

 

Je m’arrêta alors un instant, le temps qu’elle reprenne son souffle.

 

-        C’est… c’est bon ? Tu as eu ce que tu voulais non ?…

-        J’ai loin d’être fini. Je pourrais m’amuser à vous interroger sur pleins de choses. Déjà, quel est votre point faible ?

-        Tu n’y vas pas par Quatre Chemins toi…

-        Haha, non, en effet.

-        Et si je refuse de te le dire ? Tu me chatouilles j’imagine ?

-        Vous imaginez bien.

-        Si tu me laisses faire une pause, ça veut dire que tu penses un minimum à ma sécurité. Donc j’ai juste à résister et à attendre que tu cèdes le premier.

-        Vous pensez que je vais céder le premier ? Ok. Donc pas de réponse ?

-        Pas de réponse.

 

Pas de réponse = des chatouilles. Je me remis à caresser ses pieds avec ma plume et ses rires reprirent. J’avais déjà ma petite idée sur la réponse. Mais je voulais qu’elle me le dise.

 

-        Pas de réponse ?

-        Riant aux éclats. Je… ok je vais parler hahaha !!

-        A part ça je devais céder le premier…

 

Je m’arrêta donc une nouvelle fois.

 

-        Bien, je vous écoute. Quel est votre point faible ?

-        Mon… mon point faible… les dessous de pieds… Je suis très chatouilleuse sous les pieds… et me chatouiller avec une plume c’est pire… 

-        Ah vous n’aimez pas quand on caresse vos pieds avec une plume ?

 

Au même moment je passe la plume doucement sous son pied.

 

-        Hahaha… non !… ça me chatouille trop !!

-        Intéressant. Et plutôt plante de pieds ou sous les orteils ?

-        Je dirais pas !

-        Tant pis. Guili guili !

 

Cette fois-ci je passa la plume sous ses orteils.

 

-        Les deux !! Les deux !! Hahaha !! C’est horrible !!!

 

Je m’arrêta une nouvelle fois, satisfait de mes découvertes.

 

-        Vous voyez, c’est pas compliqué de répondre à des questions. Je vous mets la note de 7/10.

-        Que 7 ? Alors que tu as eu toutes tes réponses ? 

-        Oui, j’ai quand même dû titiller vos pieds pour les avoir. 

-        Et maintenant ? Tu vas me détacher ? Tu as bien profité je trouve. Si je devais faire une auto-évaluation je dirais que j’ai suffisamment été chatouillée.

-        L’auto-évaluation c’est bien, mais c’est celle du prof qui compte.

-        Ça tombe bien, c’est moi la prof.

 

Visiblement elle commençait à se plaire au jeu.

 

-        C’est peut-être vous la prof, mais vous êtes à ma merci. C’est donc moi qui décide si vous devez encore être chatouillée ou non.

-        Tu sais, tu peux t’amuser. Mais il faudra bien que tu me détaches un jour. On a école demain. Et dès lors que tu m’auras détachée, comptes sur moi pour te le rendre comme il se doit. Et c’est inutile de me dire que tu me chatouilleras de nouveau. Je me suis fais avoir une fois, il n’y aura pas de deuxième fois.

-        Vous n’avez pas tord. Cependant ça pourrais être marrant de vous chatouiller jusqu’à demain matin. Imaginez même la tête des autres élèves en vous voyant comme ça ´. Peut-être qu’ils se prendraient au jeu aussi.

 

Elle faisait un peu moins la maline, avant d’avoir de quoi répondre.

 

-        Les autres professeurs seront là. Et eux n’auront pas envie de jouer. Tu risquerais gros si tout le monde voyait ça. Alors que si ça reste entre nous, ce sera plus sécurisant pour toi. Tu sais, je m’en moque d’être chatouillée devant des gens. J’en éprouve aucune honte. Et puis me chatouiller jusqu’à demain, arrête de bluffer. Il faut bien que je boive, que je mange. Sans compter que tes parents vont vite s’inquiéter. Et ça, tu le sais. Donc je ne risque rien. Je sais que tu vas me détacher. Mais personnellement, le plus vite sera le mieux. J’ai suffisamment rigoler pour aujourd’hui.

 

Bon pour le coup, son petit discours était clairement cohérent. Je vais quand même pas la retenir captive… il faut bien se faire une raison. Je vais la détacher… mais avant ça.

 

-        Oui vous avez raison. Cependant… savez-vous que pour être en forme, certains spécialistes affirment qu’il faut rire au moins 15 à 20 minutes par jours. Mais vraiment rire. Je doute que vous ayez atteint ce quota pour aujourd’hui.

-        Quoi ?… c’est quoi ça encore ! Et qu’est-ce qui te dit que j’ai pas déjà fais mon quota ?

-        Ce quota en soit c’est le minimum. Rien ne vous oblige à faire plus. 

 

Je décide de laisser la plus et ses pieds de côté, pour le moment, et je me place proche de son ventre en appuyant légèrement et rapidement avec mes doigts.

 

-        Peut-être connaissez vous cette technique !

 

Elle se tortillait légèrement, laissant s’échapper quelques rires. C’était toujours plus que si je visais son cou ou ses bras, mais la réaction n’équivalait pas celle de ses pieds. Mais c’était marrant quand même.

 

-        Arrête !! Je supporte pas qu’on me fasse ça !!

-        Ah vraiment ? Dommage, c’est moi qui décide. Et je décide de continuer. Guili guili guili.

-        Hahaha !! Stop !!

-        Voyez le bon côté des choses. Vous êtes habillée. Ça aurait pu être bien pire si vous n’étiez qu’en sous-vêtements. D’ailleurs, avez-vous déjà été chatouillée à la plage ? 

-        Mais c’est quoi cette question encore !? Haha !!

-        Répondez.

-        Arrête de me chatouiller alors !! C’est… compliqué de formuler une vraie réponse…

 

Je m’arrête donc de nouveau. J’ai l’impression qu’il y aura bientôt autant de coupure que de filers dans Naruto.

 

-        Reprenant son souffle. Tu as de ces questions… tu as quel genre de lien avec les chatouilles ?

-        Ce n’est pas pour ça que j’ai momentanément arrêté de vous chatouiller… je vous répondrez après.

-        Ok ok… bien évidemment qu’on m’a déjà chatouillée à la plage. Et j’imagine que je suis loin d’être la seule. Donc je sais que ta technique est plus efficace si on a peu d’habit. Et si ça t’intéresse tant, on m’a même déjà bloquée dans le sable pour me faire des chatouilles. Alors, cette réponse te satisfait.

-        Là je vous mets un 9/10. 

-        A la bonne heure… maintenant à toi de répondre.

-        Bien entendu. Je vais être honnête, je vous trouve très jolie et très sympa. Mais c’est aussi ce qui me donne envie de vous chatouiller. Je n’y vois pas là dedans une forme de torture extrême, mais plus une sorte de jeu. Voir les gens rire, découvrir leurs faiblesses. C’est assez mignon. Ne me demandez pas pourquoi, je ne saurais y répondre. Et le fait de doubler ma punition ma donné un prétexte pour agir. 

-        C’est… assez particulier… mais après tout, je ne suis personne pour juger. Et donc pour te venger tu t’es mis en tête de me chatouiller, trouver mes faiblesses et les exploiter ?

-        Tout juste. Et je dois dire que c’est assez amusant de vous voir vous tortiller en rigolant. 

-        Y’a pas à dire, c’est vraiment particulier… honnêtement, pourquoi ne pas m’avoir dit plus tôt que ça t’avais énervé que je double ta punition. On aurait pu en discuter.

-        Je pensais que vous alliez me remballer. Bon, assez discuté. Je n’ai pas fini.

-        Quoi !?…

 

Après ce petit moment, il était temps de reprendre les chatouilles. Je l’avertit dès lors que je la détacherai après. Je repris la plume.

 

-        Tu vas pas me re chatouiller les pieds…

-        Je vous l’ai dit. Le plus amusant c’est de trouver le point faible de l’autre et de l’exploiter. Et votre point faible, ce sont vos pieds.

 

Avant cela, je sorti de nouvelles plumes. Je les collèrent entre elles avant de mettre un élastique. Et voilà comment on fait un plumeau.

 

-        Une plume c’est bien, mais on ne peut chatouiller qu’un pied à la fois. Alors qu’avec un plumeau…

 

Sans perdre de temps, j’agite le plumeau sous ses pieds. Un coup je m’attarde à lui caresser ses plantes de pieds, un coup je lui caresse les orteils. Elle riait toujours aux éclats, essayant de se tortiller comme elle le pouvait. Elle essayait même de mettre un pied devant l’autre. Dommage pour elle, elle était ligotée et ne pouvait que subir.

 

-        Je t’en prie arrête !! Tu me chatouilles trop hahaha !! 

-        La faute à vos pieds, ils sont bien trop chatouilleux. Guili guili guili. 

 

Cela dura environ 5 minutes, après quoi je stoppa complètement.

 

-        Je… je suis épuisée… j’ai rarement été autant chatouillée…

 

Je la détacha alors et remis tout en place, comme si il ne s’était jamais rien passé. De son côté, elle remit simplement ses chaussures.

 

-        J’imagine que tu as conscience qu’en temps normal je devrais te faire un rapport ?… cependant je vais fermer les yeux. On va dire que ça ne dépasse pas le « simple amusement ». Et puis tu n’as rien fait de bien méchant. Tu aurais pu m’obliger à te mettre de bonnes notes ou autres.

-        Ah oui tiens, j’y avais pas pensé !

-        Haha… très drôle… n’y pense même pas. Enfin bref… file maintenant.

-        D’accord. Merci de ne pas faire de rapport. Ah et rassurez vous, je ne dirais rien à personne. Ça restera notre petit secret.

-        Y’a intérêt. 

-        En tout cas comptez sur moi si jamais vous avez besoin de faire votre quota de rire quotidien haha.

-        Alors trouves des blagues drôles ! Hors de question que je sois de nouveau chatouillée au pieds si c’est quotidiennement !!

-        Ah, seulement si c’est quotidiennement. Donc sinon je…

-        File je te dis ! 

 

Elle me prit par le dessous des bras et le mot clairement à la porte. J’ai même pas pu finir ma phrase. Passons les détails et, le lendemain en cours, tout semblait normal. Comme si il ne s’était rien passé. Ah si, peut-être une chose. Il faisait tout aussi beau et chaud, mais cette fois-ci elle n’avait pas ses chaussures ouvertes. Peut-être a-t-elle prit peur mdrr.