Histoire : Une bourreau à la fac (Épisode 01)

Bonjour, je suis pas vraiment nouveau sur le site puisque je lis depuis maintenant 2 ans je crois les histoires des autres et j'ai décidé de me lancer en m'inscrivant. Alors bien entendu, c'est ma première histoire alors je suis preneur en conseils et autres recommandations. Sur ce, bonne lecture !

PS : ceci n'est que l'intro, la suite est préparée mais dépendra de vos réponses.

UNE IDÉE QUI GERME DANS MA TÊTE :

Je me présente, Marion, 19 ans et étudiante en commerce. Je suis dans une fac à Nancy près de ma famille et de mes amis. Tout pour aller au mieux. 

Enfin non, pas exactement. J'ai une famille, des amis très proches de moi, des potes de foot mais il me manque une chose pour être vraiment épanoui, il me reste une dernière passion à assouvir et que j'ai trop peu pu exploiter, ma passion pour les chatouilles. Ou plutôt le fait de chatouiller quelqu'un parce que je déteste être chatouillée (vraiment trop chatouilleuse). Mais mis à part quelques minis-séances avec des amies, je n'avais jamais pu totalement l'exploiter et dans ma région il n'y a pas de personnes prêtes à partager ça avec moi. 

Comme je l'ai dit, je suis à la fac et il y a beaucoup de filles qui m'intéresseraient mais je n'ai pas le courage de demander, de peur d'avoir des réponses négatives et d'être affichée. Je rentrai dans ma deuxième année à la fac, je connaissais donc mieux les lieux, je suis moins stressée et par conséquent une idée m'est venue. Je devais à tout prix chatouiller une fille, mais pour cela il fallait un plan précis et infaillible. Restant la semaine à l'internat dans un soucis de confort malgré un faible éloignement avec ma famille, je devais profiter de ces moments le soir pour atteindre mon objectif.

Pour cela, plusieurs étapes:

1.Trouver une fille à l'internat qui me plaise.

2. Découvrir son emploi du temps et ses temps libres.

3. Caler une date et une heure précise de la séance.

Cela donne lieu au plan en lui-même qui résumait à :

-faire en sorte que la fille soit seule.

-l'enlever le temps de quelques heures avec un produit permettant de l'endormir le temps de l'enlèvement.

-l'attacher pour la séance puis la relâcher plus tard.

Un plan complexe qui donnait lieu à plusieurs contraintes comme la nuisance sonore durant la séance, empêcher la victime de se souvenir du lieu de la séquestration ou encore ne pas se faire voir lors de l'enlèvement.

Mais j'étais déterminée à réussir et au début du mois de novembre j'étais prête.