Histoire : POV, NSFW, F/M, & Cléopâtre 👠

Toute reine qu'elle soit, la reine Cléopâtre a besoin d'assouvir ses envies charnelles et ses fétiches, comme toute femme. Ses fonctions administratives lui donnent cependant une certaine autorité sur ses citoyens. Elle arpente alors les rues, sur son trône porté par des manants, entourée de gardes et jette son dévolu sur un jeune homme, qui se voit gracieusement offrir le choix de l'accompagner au palais ou mourir. C'est ainsi que tu te retrouves attaché dans cette position :

Les servantes de la reine t'ayant délicatement et précisément attaché, elles sont parties, et règne désormais le silence. Seul le bruit des torches émet un léger crépitement, baignant la chambre de la reine dans une lumière douce et quasi érotique. Il y fait bon et les nombreuses tapisseries et peaux de bêtes rendent l'ambiance sonore chaleureuse, mais bâillonné comme tu es, cela n'a pas d'importance. La position peut sembler inconfortable, mais les liens sont recouverts de matières douces, rendant la situation presque agréable...

Derrière toi se fait entendre une porte massive s'ouvrant, puis se refermant sur le même silence qu'auparavant. Tu notes un bruit de clé qui verrouille une porte. Quelqu'un semble traverser la pièce, d'un pas claquant (des talons ?). De cette même direction, une voix douce semble t'adresser la parole :

- أنت إما تتحدث العربية أو فضولي للغاية ، تهانينا في كلتا الحالتين! 

(Hrm, pardon, je répète:)

- Je suis à vous dans un instant !

Bâillonné, tu ne peux qu'attendre sans répondre...

Les pas se rapprochent, et dans ton champ de vision apparait Dame Cléopâtre, souriante. Grande de nature, ses talons compensés la font paraitre immense et majestueuse. Sa robe fendue aux motifs orientaux laisse apparaitre une jambe cambrée, sur laquelle une taille fine et une poitrine gracieuse sont mis en valeur. Le haut tenant cette dernière semble bien léger pour une reine, mais ton bâillon t'empêche de le notifier, même si tu en avais eu l'envie. Ses cheveux bruns coupés aux carrés bougent avec grâce lorsqu'elle bouge la tête, comme pour te scanner.

- Vous êtes donc mon nouveau compagnon de jeu ? Encore plus attirant sous la lumière des torches ! Je vous remercie d'avoir accepté mon invitation, même si peu s'y s'ont risqué haha... N'ayez crainte je ne vous ferais aucun mal, en tout cas, pas comme vous l'entendez j'imagine... 

La reine d’Egypte tourne autour de toi comme un prédateur autour de sa proie :

- Peut on se tutoyer ?

Tout aussi stressé que tu sois, tu ne peux empêcher ton entre jambe de grossir. Cléopâtre le remarque :

- Il semblerait qu'une certaine alchimie prenne forme entre nous hihi, je pense que cela veut dire oui... Une toute dernière question, des plus futiles... Es-tu chatouilleux ?

A ces mots ton engin se raidis encore, donnant une réponse claire et fiable à Cléopâtre, ne faisant que renforcer son sourire. Sans un mot, elle se place derrière toi, hors de ton champ de vision.

- Voyons cela.

Suite à ces mots, tu sens une pointe douce appuyer sur ta plante de pied, surement son ongle. Cette pointe commence lentement à se déplacer, provoquant le rire étouffé caractéristique du supplice des chatouilles que tu es en train de subir. Tu sens cet ongle dessiner des formes élégantes, de haut en bas, travaillant cette zone si chatouilleuse.

- Tout va bien ? Je te sens stressé...

Il ne t'en faut pas plus pour déceler le sourire que la reine arbore dans ton dos, manifestant son sadisme et sa domination. Tu ne peux que subir la sensation en étouffant des cris, et gigoter tes orteils que Cléopâtre n'a pas encore pris le temps de t'attacher.

- Si chatouilleux, et nous n'avons qu'à peine commencé la nuit... Ici peut être ?

Son ongle remonte vers la base de tes orteils, et s'agite en de petits mouvements avec frénésie. Le supplice est d'autant plus important que d'autres ongles viennent s'ajouter pour gratouiller cette zone avec malice. Tu commences à te secouer et gigoter terriblement dans tes liens, en vain. La reine continue son supplice indépendamment des réactions et bruits émanants de toi. Malgré la torture, ton fétiche ne peut empêcher ton appareil de gonfler.

- N'est-ce pas merveilleux ? Nous sommes 2 à prendre du plaisir il semblerait... Que dirais tu de mon autre main ?

Suite à ces paroles, les chatouilles cessent, pour laisser place à des caresses. Tu sens alors l'autre main se joindre à la fête, caressant et malaxant ton pied. Les caresses se font de plus en plus fortes, et appuyées, à tel point que tu sens les ongles commencer à glisser de part et d'autre de ton pied si chatouilleux. Par pitié ? Je vous en prie ? Quand bien même la reine entendrait tes supplications, elle n'en ferait rien hormis se délecter. C'est dans cette impuissance que les caresses sur tes pieds se muent en chatouilles insoutenables sur ton pied.

Plusieurs minutes s'écoulent avant qu’elle ne se lasse de cette phase de ton supplice et y mette fin. Le repos t’est enfin accordé, aussi court soit-il. Tu sens la reine rigoler tendrement dans ton dos, quand un ongle se pose non pas sur ton pied, mais sous tes testicules. Tu te crispe soudainement, et continue de l'être tandis que la main attrape ton sexe avec fermeté et effectue de lent va et vient.

- Le supplice semble te plaire. Dois-je continuer ? Hm, il me semble que tu as dit oui, qu'il en soit ainsi.

Tu entends la reine se lever juste avant qu'elle ne passe devant toi pour se rendre vers une commode. Ses talons appuient sur son déhanché quasi-provocateur. Tu ne peux t'empêcher d'admirer son postérieur quand elle se penche bas pour attraper quelque chose. Elle revient alors face à toi, quelque chose caché derrière son dos, et s'accroupi devant toi. Elle te regarde avec gourmandise, et dévoile de derrière son dos un flacon et une brosse, à cheveux semble-t-il.

- Il est temps de passer à la suite, qu'en dis-tu ?

Sur ce, elle se relève et se replace derrière toi, te laissant de nouveau impuissant avec son parfum enivrant et éphémère. Un bruit de flacon se fait entendre, suivit d'un bruit gras de crème étalée entre deux mains. Les deux mains se posent alors en caresses sur tes pieds, et étalent avec tendresse cette crème si grasse. Ses doigts se glissent entre tes orteils, parcourant chaque recoin de tes pieds, étalant le support de ton futur supplice. Les caresses cessent, puis les mains froides se posent sur tes hanches, remontant sous tes aisselles, et étalant la crème dans cette zone si intéressant pour Dame Cléopâtre. Tu la sens attraper tes orteils d'une main, et les tendre en arrière avec une certaine force. Les ongles de son autre main viennent se poser sur ton pied et tu commences à sentir la sensation de chatouille intenable à travers la crème, cette sensation de glissement parfait te rendant fou. Tu te débats, mais de peu car tu es très bien attaché. Tu n'as pas besoin de voir derrière toi pour imaginer le sourire malicieux de la reine en train de te mettre au supplice pendant plusieurs minutes.

- Cette crème est formidable, ne trouves-tu pas ? Quel supplice cela doit être pour toi, pour mon plus grand plaisir ! Ce bâillon est très efficace pour l'instant, j'ai hâte de voir quand je vais m'occuper de tes aisselles...

Les ongles se dégagent alors, remplacé par la sensation de la brosse à cheveux se posant sur ta plante de pied tendue.

- Que penses-tu de cet outil par rapport à mes ongles ?

Elle commence alors à agiter la brosse le long de ton pied chatouilleux, te mettant de nouveau au supplice. Plusieurs minutes passent ainsi, toi essayant de te débattre, des rires étouffés dans ton bâillon et Cléopâtre prenant du plaisir en t'infligeant cela. Elle cesse enfin.

- Prends tu autant de plaisir que moi hihi ? Il semblerait que oui...

Sur ces paroles, elle glisse quelques chatouilles sous ton membre dressé, qui ne manque pas de t'exciter encore plus.

- Je t'offre un petit cadeau... J'espère qu'il te plaira

Tu vois alors le soutient gorge de la reine tomber devant toi. Mais alors qu'elle s'avance vers toi elle dépose avec délicatesse un masque en satin sur tes yeux qu'elle attache derrière ta tête.

- Mais ce ne sera pas si facile...

Tu la sens alors se placer face à toi, l'odeur de son parfum et le bruit de ses talons étant les seuls sens qu'il te reste. Elle s'approche très près de toi, jusqu'à ce que sa poitrine vienne se poser sur ton torse, et elle te susurre à l’oreille :

- Tellement de supplices t'attendent encore mon beau...

Son bassin vient s'avancer et se placer par-dessus ton membre tandis que ses mains se posent sur tes cuisses et remontent. Ses griffes remontent sur ton corps, montant sur ton ventre puis ton torse. Elle se relève alors et semble tourner autour de toi. Par derrière, ses ongles viennent se poser sur ton ventre, et effectuent de léger va et vient chatouillant...

- Penses-tu que je dois doivent m'occuper de tes petites aisselles ?

Tu ne peux évidemment pas répondre, bâillonné comme tu l'es. Tu ne donnes comme seul réponse que des bruits étouffés tout en te gigotant, impuissant. Le supplice vient alors, un ongle se pose sur ton aisselle, et gigote lentement. La sensation est alors insoutenable, tu te tortilles, te débat, en vain bien évidemment. Une autre main se pose sur ton autre aisselle, et plusieurs ongles viennent chatouiller tes aisselles, dynamiques, surement sous le regard satisfait de la reine...