Histoire : Les Chroniques d'Univers

Sympa comme amorce ! J'aime bien le principe d'un Dieu devenu mortel ! ^^
Je vote pour la 2, tant qu'à tester la vie humaine, autant qu'il tombe sur un village.

Cool encore une histoire . La 3 pour moi ça m'évoque les faux dieux ^^

Ouah c'est très spécial... Et sa m'évoque légèrement quelque chose ^^.

J’avais l’impression d’avoir la réponse à une question que je ne trouvais pas.

Serait-ce 42 ???

Je vote la 2 ^^.

Cette histoire date d'il y a plus de 5 ans, et c'est l'une de plus longue que j'ai écrite. C'est une pure coicidence que ça tombe sur quelque chose que tu connais, j'avais commencé à penser à recommencer cette histoire il y a quelques mois, et je n'avais pas pu à cause des cours. Maintenant c'est bon...et j'ai besoin de retrouver les personnages quej'avais créé à l'époque. Je vais bien m'amuser à transformer ça en histoire chatouille ^^

Don attendez...on a un 1 deux 2 et un 3, ok, je continu toujours pas, plus qu'à continuer à attendre.

vous voulez savoir, la version original c'était la 1. Dans la secondes verion, c'état plus ou moins la 4 avec la 2. Quand au 3, c'estun décore qui était arrivé un peu après, dans le chapitre... 4 ou 5, quelquechose comme ça... De toutes les manières, l'histoire restera la même : Seul l'ordre des évènements changera je vous laisse libre de rebatir cette histoire

Ah ! Et bonjour Satori ! (Un petit nouveau qui prend la peine de voter, ça se note quand meme !)

Je vais dire la 1, j'aime bien aussi les étendues désertes.

On vote de tout les côtés!! Trop bien. lol.
Squall le pervers maléfique de ce site prend possession du forum.

Toujours aussi agréable à lire.

Enfin les partiels sont terminés pour moi... Je peux vous dire que j'ai du attendre avant de me remettre à écrire comme je le voulais. J'avais envie de savoir ce qui allait se passer. Voilà donc la suite

1er Cycle 1ère Partie

J’imaginais, j’imaginais, et j’imaginais si fort que soudain je ressenti sur me visage un vent frais et humide. J’ouvris la bouche, comme pour inspiré, respirant profondément cette air gorgé d’eau. C’était comme un crachin délicat. Je clignais des yeux. C’était bien ça, je n’étais sur univers. J’eus un frisson. Ce ne fut pas très agréable, je n’étais pas habitué. D’ailleurs je n’avais pas grand-chose sur le dos. Et en dehors d’Univers, je ne pouvais pas rêver d’un habit plus chaud. Je fis donc la première chose qui me passa par la tête, je croisai les bras et soupira tout en me frictionnant pour éviter de perdre toute ma chaleur. Je fis alors plusieurs pas droit devant moi. C’était étrange que de passer d’une position allongée à une position debout d’un clignement d’yeux. Mais c’était bien vrai, lorsque l’on s’imaginait par la pensée, on s’imaginait le plus souvent debout. C’est ainsi que j’étais apparu. Et maintenant j’avais froid. Si j’avais su, j’aurais sans doute imaginer un endroit plus agréable que…Où est ce que j’étais d’ailleurs ?

Je levais les yeux vers le ciel. Je n’y voyais pas grand-chose. C’était la nuit. C’était bien pour ça qu’il faisait froid. Visiblement, je pouvais rêver d’un monde, mais pas de la température ou du moment de la journée. C’était bon à savoir. Autre chose d’intéressent, si à Univers je sentais encore en moi un certain pouvoir, ce n’était pas le cas dans ce monde. Je me sentais humain. J’avais froid. Mon regard se porta tout autour de moi. Mes yeux bien humains s’habituaient de plus en plus et je pouvais à présent me rendre compte que j’étais sur une petite colline qui surplombait un village. Quelques torches brûlaient ça et là. Il y avait environ 30 mètres de descente puis une cinquantaine de mètres avant le village. De toute façon qu’est ce que je pourrais bien aller y faire ? Maintenant que j’y étais…il m’apparaissait beaucoup moins évident d’entrer en contact avec une personne. Peut être étais je timide, qu’en savais-je ? Ou alors j’étais juste intimidé…

- Arrêtez-là !

Le cri m’avait fait sursauté. Il venait du village, là en contrebat, pas si loin de moi que ça. Il était affreux ce cri. On aurait dit que celui qui l’avait poussé nourrissait une colère immense contre l’un de ses semblables, au point de lui vouloir du mal. Inexplicablement, je me rendis compte que je n’aimais pas ça. Je fis quelque pas pour m’approcher du bord de la colline, véritablement à pic, il fallait l’avouer. Je me penchais pour essayer de discerner quelque chose alors que des bruits de poursuites me parvenaient. Et à présent que je regardais mieux, je voyais également des torches s’allumer et se regrouper. Des voix me parvenaient sous forme de murmures. Certaines voix étaient plus appuyées que d’autres, et j’aurais pu discerner les mots qu’elles prononçaient, si elles n’avaient pas toutes parlées en même temps. Ça ne ressemblait qu’à une foule en colère. D’ailleurs c’était peut être bien le cas.

- VOLEUSE !!!

Ça au moins, je l’avais compris, et cela expliquait sans le moindre doute les autres cris de rages que j’avais entendu. Et à présent je percevais des mouvements, les torches bougeaient rapidement, et j’entendais des bruits, lourds et claquant à la fois, comme si des hommes en armure marchaient. Je me rendis à peine compte que le crachin avait cessé, que je ne tremblait plus, et que les nuages au dessus de ma tête se dissipait. De plus en plus, la lumière de la lune venait éclairer ce que j’avais sous les yeux. Il y avait un village, c’est vrai, mais ce village était situé au pied d’une immense forteresse Noir situé quelque 200 mètres plus loin. Si sombre que je ne l’avais même pas remarqué.

- Attrapez là, faut pas qu’elle puisse s’échapper !

Ça aussi je l’avais entendu, et bien entendu. Est-ce qu’ils se rapprochaient ? Ou est ce que c’était moi qui tendait l’oreille. Peut être réussissais-je tout simplement à discerner les voix et à les séparer les unes des autres.

- Qu’elle soit enfermée ! Disait une première.

- Où est l’autre ! Demandait une deuxième.

- Qu’elles soient maudites ! Vociférait une troisième.

Je n’y comprenait pas grand-chose, mais ne pouvais m’empêcher de regarder ces colonnes de flammes se mettre en rang et se déplacer dans tous les sens possible à l’intérieur du village. Il semblait évident qu’ils recherchaient quelqu’un. Cela ne me concernait pas bien sûr, mais à présent que j’assistais à la scène, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qui se passait, et comme cela allait finir. Je me rendis alors compte qu’un chemin sinueux descendait le long de la colline pour arriver jusqu’au village en passant sur une portion moins raide de la pente. Je pouvais aisément rejoindre le village. Mais pour y faire quoi ? La vérité était que de là où j’étais, je pouvais bien mieux profiter de ce qui était entrain de se passer sans me mêler à ce joyeux spectacle assez sinistre il fallait bien le dire. Des flammes et des cris dans la nuit, il y avait plus gai.

Je fis volt face et regardais dans mon dos sentant soudain quelque chose, un je ne sais quoi qui me poussait à regarder, comme si j’avais senti une présence. J’étais vraiment capable de ça ? C’était tout de même assez étrange. Mais j’aurais pourtant juré… j’avais sous les yeux un ensemble de dolmens disposés en cercle qui formaient comme un autel dédié aux dieux. Pas moi, je m’en serais souvenu si quelqu’un avait eu pareille attention à mon égard. C’était un endroit étrange que celui dans lequel où j’avais atterri. Je fis un pas, n’entendait presque plus les bruits qui venaient du village. Peut être n’était ce que mon imagination après tout. Mais mon cœur battait fort dans ma poitrine, et tout dans mon être semblait me préparer à quelque chose. Un danger ? Ici ? Cet autel semblait être un vestige oublié par le temps. Il n’y avait rien, absolument rien. A ce qu’il semblait.

Je me retournais vers le village qui était de plus en plus bruyant. Visiblement, l’évènement avait tiré tout le monde de son sommeil. Qu’ils l’aient voulu ou non d’ailleurs. Il était peut être temps de faire quelque chose. Le flux d’excitation que je ressentis coula en moi comme un doux nectar.


1 : S’approcher du bord de la colline et continuer de surveiller
2 : Emprunter le chemin qui longe la colline vers le village
3 : Suivre son intuition, il a bien quelque chose de bizarre avec cet autel, il faut trouver
4 : La situation risque de s’envenimer, mieux vaut retourner à Univers

Je vote la 3, j'ai envie de savoir ce qu'il se passe ^^

Je vais prendre la 3 ! Comme ça on fait un peu avancer la chose ! Squall est tellement impatient de faire cette suite donc faudrai pas qu'on l'en empêche tant qu'il est motivé !

C'est qui Trois ?

Je me retournai vers les dolmens, perplexes. Peut être ne me sentais-je simplement pas à ma place devant un hôtel dédié à un autre Dieu. C’était un peu comme entrer dans une propriété rival. Qu’est ce que je racontais ? J’étais un mortel à présent, il n’y avait plus aucune forme de rivalité. Je ne me souvenais même plus s’il y en avait déjà eu. Un Dieu pouvait-il être jaloux d’un autre Dieu plus populaire ? Et zut, je ne savais plus, et ça ne me concernait plus. Mais je sentais pourtant qu’il y avait quelque chose à voir, alors je m’approchai à pas feutrés, remarquant à peine que les bruits, les cris et les ordres aboyés se rapprochaient encore. Vraisemblablement, le petit chemin que j’avais remarqué plus tôt et qui descendait vers le village était en ce moment même emprunté par un cortège en colère. Une petite voix dans un coin de ma tête me conseilla de filer avant que cette foule excitée ne me tombe dessus. Mais avant cela…

- Il y a quelqu’un ?

Les premiers mots que je prononçais, c’était très étrange, de savoir que produire ce son articulé pourrait produire un sentiment, une émotion, une réaction chez celui qui l’entendrait. C’était un concept que j’aimais beaucoup mais qui m’était si étranger. Ainsi, je pouvais dire n’importe quoi, et suivant ce que je dirais, la personne qui l’entendrait réagirait différemment. Ainsi…à chaque mot que l’on prononçait, tout pouvait changer, passant de tristesse à colère, de joie à peur… Les mortels n’ont parfois aucune idée du pouvoir qu’ils ont… Mais je comprenais parfaitement ce que souhaitait la plupart d’entre eux, le désir de ce que l’on a pas demeurait le plus fort. D’ailleurs moi-même, je désirais ce que je n’avais pas, un contact avec…quelqu’un…

Toujours était-il que personne ne me répondait et je commençais sérieusement à douter de l’efficacité de mon sixième sens divin, qui s’avérait en fin de compte n’être qu’une vaste blague. Sixième sens divin… Dommage ça sonnait bien… Pourtant j’avançait toujours, passant devant l’un de ces grands rochers taillé à la façon de…Qu’est ce qui avait cette forme là d’ailleurs ? Bah un dolmen. Je disais donc, je passais devant l’un de ces grands rochers taillé à la manière d’un dolmen. Ce qui suit une certaine logique il faut l’avouer. Je posai ma main et sentit ce contact rugueux et froid, peu agréable. Je commençais tout doucement à me rendre compte que certains touchés était plus agréable que d’autre, et que certain pouvait même être insupportable…Comme le feu ou… un lame. Comme celle qui se pressa contre ma gorge.

- Bouge pas ! M’intima la détentrice de l’arme destinée à me menacer et à me tenir tranquille. Je n’étais pas idiot, même si je ne comprenais pas tout ce qui se passait. En l’occurrence, je savais que la lame qui était appuyé méchamment contre mon cou aurait pu me trancher la peau et la chair facilement. Et je savais aussi qu’une ouverture large et profonde sur cette partie du corps humain signifiait la mort. Et je ne voulais pas mourir.

- Je ne bouge pas, ne me tue pas, fis-je, ne sachant que dire d’autre.

- Qu’est ce que tu fais là ? Cracha celle dont je ne voyais toujours pas le visage alors que je discernait dans sa voix plus de colère mélangé à de la peur qu’un véritable désir de connaître la réponse à sa question. J’imginais donc la réponse en conséquence.

- Je ne suis là que par hasard. Tu n’as rien à craindre de moi, récitai-je, me sentant comme un robot qui répondait en fonction d’une attente extérieur.

- Ah oui ? Fit-elle, vraisemblablement peu convaincu. Je ne lui mentais pourtant pas. Pourquoi se sentait-elle si menacer ?

- Oui, je… Il n’y a pas de raison que je te veuille du mal, ajoutais-je, me rendant compte que c’était cette fois plus sincère de ma part. Mais je ne savais pas vraiment si j’étais censé la tutoyer ou la vouvoyer. Il faisait sombre, je n’y voyais rien, et elle avait pris soin de demeuré derrière moi, gardant cette lame pressée contre ma carotide. J’expérimentais ce qu’était la peur d’une façon soudaine et j’avais du mal à enregistrer tout ce que mon corps me communiquait. Je transpirais, mon cœur battait fort, mes mains tremblaient un peu.

- Tu es armé ? Demanda-t-elle toujours de cette même voix rageuse qui dissimulait une anxiété croissante, qui, même si elle ne le savait pas, était partagé.

- Armé ? Non ! Répondis-je, plus impulsivement, sentant monter en moi un sentiment différent. Je me sentais agacé. Pourquoi ne me croyait-elle pas ? Je ne lui avais rien fait et elle voulait me tuer. Ce n’était pas juste. Je voulais seulement rencontrer l’un de ces êtres… Je ne voulais faire de mal à personne. Mais celle qui me tenait captif semblait le croire. Avait-elle donc si peu foi en ses semblables ? Etait-ce là la preuve d’une blessure difficilement cicatrisée… Quelqu’un d’autre lui avait-il fait du mal par le passer.

C’était triste…

- Kurra ! Lança une voix, perdue dans l’obscurité, qui fit sursauter ma nouvelle amie, Kurra, si tel était bien son nom. Et sa lame m’effleura, me faisant grimacer de douleur. Je sentis alors la pression qu’exerçait son bras autour de mon cou se desserrer.

- Je suis là ! Lâcha la jeune fille qui me maintenait, perdant sa concentration.

Je ne sus pas très bien ce qui me prit, mais resté ainsi servilement tenu en respect ne me sembla pas être une solution envisageable. Je glissais sous le bras de mon agresseur féminin, et lui attrapa le poignet pour dévier la lame meurtrière qui m’était soudain destiné avec beaucoup plus de détermination. Elle poussa un cri de rage et me fit basculer en arrière. Je glissais et me rétamait lamentable sur le sol, l’emportant avec moi dans ma chute, ne lâchant certainement pas la main qui tenait l’arme qui pourrait signifier ma mort.

- Mâronn ! Ici ! J’ai un problème ! Lança-t-elle, tentant toujours de se dégager mais je tenais fermement et n’était pas décidé à la relâcher.

- Tous les gardes du village me courent après ! C’est pas le moment ! Répliqua son interlocutrice toujours invisible. Mais je n’avais pas besoin de la voir pour me rendre compte que la situation était entrain de merder à vitesse grand V. C’était à moi de dire quelque chose. Mais quoi ?

1 : Je ne suis pas votre ennemi !
2 : Je ne suis pas de ce village !
3 : Je ne suis pas n’importe qui !
4 : (Fermer les yeux et retourner au plus vite à Univers)

Voila, au vote tout le monde, reste plus beaucoup de temps avant que je reprenne les cours. Après j'aurais plus le temps. Et vous manqueriez les chatouilles

Voilà, corrigé. Et pour les noms...j'hésite encore, ceux là me plaise pas trop. Je pense que je vais les changer, mais je suis pas sur du tout. Dans la version original c'était deux autres noms que je ne veux pas réutilisé, faut juste que 'en trouve des ressemblant mais sympa quand meme.

Ouais, c'est décidé, je change Kyra en Kurra et Môrrane en Mâronn. Je corrige sur mon texte. Je trouve ces deux noms plus sympa

Bon allez, votez pour la suite je vous attends pour faire la suite omme toujours cette histoire ci me tiens à coeur, et j'ai vraiment envie de savoir ce qui va se passer ensuite. Evidemment je sais les grandes lignes mais... Je me demande comment notre Dieu va se retrouver à caresser les petons de splendides créatures

1 2 1, manque encore un peu

Ah bah je savais pas qu'il manquait un vote, sinon je serais passé plus tôt. Je vote 1

C'est ça...rattrape toi tiens ^^ Ok ok, bah voilà j'ai mon vote La suite demain !

La 4 pour moi aussi. T'as fait le même raisonnement que moi au passage

Ahah ^^ vive les gros commentaire ^^

Bon alors ça nous donne 4 4 1 et 3, nous manque encore quelques votes, je peux pas continuer. Normalement prochain chapitre, il y a de l'action quoiqu'il arrive. Pour les chatouilles, une fois à univers, ça arretera pas ^^ Mais c'est a vous aussi d'aider les jeunes filles. Sans vote je peux pas continuer ^^

C'est gentil de faire attention à moi !

Trésor je pense que c'est pour... Lilo trésor ^^

Lilo trésor... Mdr Evidemment

Hey c'est bien trouvé . J'y ai jamais pensé !

- Si tu savais comme on…, commença agressivement la plus menaçante des deux filles que je venais de rencontrer, et qui me détestait pour une raison que je n’imaginais que difficilement, après tout, je ne cherchais qu’à les aider.

- Ils sont là ! S’inquiéta Mâronn en fourrant dans sa poche sa pierre luminescente pour ne pas être repéré trop vite. Je voyais déjà les lumières flamboyantes des torches allumées par les poursuivant de celle qui, vraisemblablement, était une voleuse. Un concept que je ne saisissais que sommairement. En effet, j’avais des difficultés à me rendre compte que les mortels considéraient comme leur propriété certains objets matériels et pouvaient se battre pour les garder.

- Il va falloir se battre ! Annonça Kurra comme si c’était une décision envisageable. Même moi je savais compter. Et ceux qui approchaient étaient plus que trois. Beaucoup plus. Non, ils ne pouvaient pas se battre !

- Non ! Arrête un peu, on ne peut pas ! Trancha Mâronn, Il faut nous enfuir ! Et toi aussi ! Peut importe qui tu es, il est évident que tu n’es pas d’ici.

- Ça ne servirait à rien, lui répondis-je en faisant un pas en avant, S’ils sont si furieux, ils vous pourchasseront et finiront par vous rattraper.

- Qu’est ce que tu peux en savoir toi ! Cracha Kurra.

- Il faut vous cacher ! Assurai-je, Et vous fuirez sitôt qu’ils ne seront plus là !

- Mais où est ce que tu veux qu’on se cache ! Répliqua celle qui semblait la plus disposé à me parler sans utiliser de termes peu élogieux.

- Mâronn ! On n’a plus le temps, ils seront sur nous dans une minute ! Paniqua son amie, qui d’un seul coup ne semblait plus aussi motivée pour se battre.

- Je peux vous emmener chez moi !

Pourquoi avais-je dis ça ? Je ne savais pas, je ne savais plus. Univers. Mon monde. Pouvais je vraiment y ramener quelqu’un ? Je le voulais tant. Je voulais tant les aider. Les ramener à Univers…

- C’est pas le moment de nous proposer une invitation graveleuse ! Grinça Kurra.

- Je veux vous aider ! M’exclamai-je rageusement.

- IL Y A QUELQU’UN ICI ! Hurla une voix qui me fit sursauter. Je vis une torche s’élever à quelques 50 mètres de là. Mon cœur se mit à battre fort. Si fort que j’eus mal à la poitrine. La peur… Une sensation que je n’aimais pas…

- On n’a plus le temps ! Lança Kurra, Vient Mâronn !

Et tout s’enchaîna si vite que j’eus beaucoup de mal à tout comprendre. Il y eut un lumière mauve, dégagé par une petite pierre, pareil à celle que Mâronn tenait en arrivant vers eux, sauf que cette fois, ce fut Kurra qui sortit l’une de ces étranges pierre luminescente. Et pendant une seconde, un très court instant, je pus enfin discerner les traits de mon agresseur qui se révéla être singulière mais vraiment jolie. Un visage un peu arrondis, de grands yeux clairs dont je ne pus pas parfaitement définir la couleur, et surtout des cheveux coiffés en une multitude de tresses blonde. Et ensuite, elle disparut de mon champ de vision par un volt face souple avant d’entamer un sprint fulgurant dans la direction opposé au village.

- ELLE EST LA ! Lâcha une voix.

Je clignais des yeux et sentit non loin de moi Mâronn prendre appui sur son pied gauche pour suivre son amie dans une course de fuite effréné…mais tellement vain. Je ne voulais pas qu’elles soient prises. Ce fut sans doute la raison pour laquelle mon corps réagit avant ce que j’avais dans le crâne, que cette substance soit à demi divine ou non. Et ma main passa alors sur la bouche de la jeune fille et je la ramenai à ma suite sans la moindre douceur derrière un dolmen et ne bougeai plus alors qu’elle se débattait et tentait de crier à travers ma main qui servait de bâillon.

- Chut…, lui intimai-je alors que j’avais l’impression que toute une foule en rage était sur le point de nous piétiner. Je fermai les yeux et priai que personne ne nous remarque. Drôle d’idée pour un ancien Dieu n’est ce pas ? Mais prier n’est pas forcément un acte de fois. A la vérité, j’essayais juste de forcer un peu la chance à dévoiler son nez. Je ne voulais pas être responsable d’un malheur. Et très franchement, je ne voulais pas non plus me retrouver dans les ennuis. Après tout j’étais dorénavant mortel.

- Mmmh ! Me répondit-elle, peut être furieuse, peut être en proie à une peur croissante, peut être seulement inquiète pour son amie. Sur l’instant ce n’était pas le plus important. J’avais l’impression qu’il y avait du mouvement tout autour de nous. Mais toujours pas de cris à notre encontre. J’entendais des exclamations rageuses, et des mots peu élogieux pour exciter d’avantage l’hystérie collective. L’humain avait tendance à devenir plus fort, plus violent, plus bestial lorsqu’il se déplaçait en groupe. Si ceux là rattrapaient Kurra… Mais pourquoi avait-elle ma sympathie ? Elle n’avait cessé de me houspiller et de se méfier de moi… Peut être parce qu’elle me voyait comme quelqu’un de normal… Et l’homme était traître de nature…

Le silence revint doucement. Je gardai pourtant ma main sur le visage de Mâronn quelques secondes de plus. Mon cœur se calma petit à petit, et je sentis celui de la jeune fille faire de même. Elle ne retira pas d’elle-même ma main et attendit que je le fasse moi-même. Dés que ce fut le cas, elle s’écarta de moi d’un mouvement rapide, et, haletant, me fit face. Je ne la voyais pas bien dans l’obscurité. Mais quelque chose me disait qu’elle ne souriait pas.

- Tu…, tu…, merci…, commença-t-elle avant de regarder nerveusement par-dessus son épaule, pensant certainement à ce qui venait de nous passer juste devant les yeux, et peut être aussi à son amie qui à l’heure qu’il était essayait encore de sauver sa peau.


1 : - Qu’est ce qu’on fait maintenant ?
2 : - Tu me fais confiance maintenant ?
3 : - Il faut retrouver ton amie !
4 : - Il ne faut pas qu’on nous trouve !

Il est toujours difficile d'entamer une histoire et de faire en sorte qu'on s'attache aux protagonistes et aux péripéties. Je n'aime pas trop le file des évènements. Mais le monde en Or s'est aussi entamé avec trois mauvais chapitre avant de vraiment décoller. Je sais déjà où je vais, je suis impatient d'arriver aux prochaines parties, parce que là je galère mais je finirais pas y être et alors là je m'amuserais bien parce que ça grouillera de scènes sympas Allez hop, d'ici là, je continue

Je vote la 1 !

Je choisis la 1 aussi, c'est un gentil dieu qui laisse aux humains leur libre arbitre