Histoire : M/M (Coquin) - La Brigade Tickling

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Histoire ajoutée le 15/02/2024
Épisode ajouté le 15/02/2024
Mise-à-jour le 15/02/2024

M/M (Coquin) - La Brigade Tickling

Salut à tous, je vous propose ci-dessous une histoire que je viens de concocter, qui rassemble pas mal de fantasmes et d'expériences lié à mes aventures en tickling. J'espère que vous prendrez du plaisir à la lire ;)

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Il y avait sur les réseaux liés au plaisir des chatouilles une rumeur, une légende urbaine allant bon train, mentionnant une certaine brigade. La Brigade Tickling. Un regroupement de ticklers sadiques qui entendaient bien exploiter les fantasmes des adeptes des aventures chatouilleuses.

Lucas, fraîchement la vingtaine, en avait entendu parler... comme tout le monde. C’était surtout source de plaisanterie sur les forums, site et rencontre et discord autour du tickling qu’il fréquantait. Il avait lu quelques témoignages se disant vrai, mais au vu de ce qu’il avait lu il en avait conclu qu’il s’agissait surtout d’histoire brodée par des personnes fantasmant son existence. C’était beaucoup trop romancé pour être crédible.

Encore étudiant dans la ville de Rennes, il était fasciné les chatouilles depuis sa tendre enfance. Mais sa grande timidité avait fait en sorte qu’il n’avait jamais pu pratiquer avec un autre garçon, trop peur qu’il avait de se laisser aux main d’un inconnu. Il avait parlé à pas mal de personne dans le milieu, mais n’arrivait pas à céder sa confiance. D’autant plus qu’il n’avait pas moyen de recevoir, vivant encore chez sa mère, et qu’il n’avait absolument pas les moyens de voyager. Il était au prises avec une envie terrible, une faim dévorante de tester sa sensibilité qu’il devinait plutôt élevée mais sans toutefois avoir pu la sonder, faute d’expérience. Alors, il consommait beaucoup de contenu sur le tickling dans le web, parfois plus hard qu’il n’aurait osé le dire, et il dévoilait sur les messageries du web ses envies et ses craintes en matière de chatouilles.

Un soir qu’il se connectait sur son compte, une notification apparu, signalant un nouveau MP reçu. Mais curieusement, il n’y avait pas de pseudo associé. Le message indiquait : « Franchement, ça fait longtemps que tu kifferais tester tes limites non ? Il serait pas temps d’y céder ? ». Surpris, il répondit « J’avoue que ça me donne tellement envie, mais y’a trop de choses qui m’empêchent aujourd’hui». La réponse ne tarda pas : « Je suis sûr que ce sont des fausses excuses... si tu l’oses, et si tu te sens prêt, complète juste ce questionnaire et tu verras ». Un lien était ensuite affiché. Lucas était perplexe, c’était assez peu conventionnel et très direct comme approche. Mais la curiosité était forte... et il consulta donc le lien en question.

C’était un questionnaire extrêmement précis sur ses fantasmes, sur ce qu’il aurait envie de tester en tickling, ce qui l’effrayait, ce qu’il ne voulait pas. Il mit près d’une demie-heure à remplir l’ensemble des questions. A la fin, une image s’afficha : il s’agissait d’un logo avec la mention « La Brigade Tickling » et un simple merci, avec un émoticône de diable taquin. La Brigade ? Non sans blague ? Purée c’est encore des conneries ça ! Il répondit à l’expéditeur du MP sur le Discord avec ironie, lui disant qu’il ne croyait pas en la Brigade, que c’était pas drôle de lui faire perdre son temps. L’esprit un peu confus, il tenta de s’endormir mais cette situation un peu étrange le tracassait. Après quoi, il se disait de toute manière que Brigade ou pas, il avait juste répondu à des questions qui ne dévoilait pas qui il étais, ni ou il vivait. Donc bon... pas de risques quoi.

Pourtant, dans la nuit, alors que Lucas avait succombé au sommeil, son ordinateur s’alluma. Sur son écran, la souris se déplaçait toute seule. Un hacker consultait son historique, fouillait dans ses données. Puis son méfait accompli, l’ordinateur s’éteint.

Le lendemain, alors qu’il était en cours, Lucas reçu sur son smartphone un e-mail étrange. Signé de... La Brigade Tickling ! Sobre, il remerciait Lucas pour son honnêteté sur le questionnaire, en stimulant qu’il avait été un brin menteur sur certaines réponses, mais que la Brigade saurait assurer pour son opération spéciale. Rien de plus. Lucas eu un frisson dans le dos, mélangé à un brin d’adrénaline et d’excitation. Putain... mais c’était quoi ça ? Comment ils avaient eu accès à son e-mail perso ? Il ne l’avait renseigné à aucun moment sur leur foutu questionnaire. Il n’osa pas répondre au mail, évoqua le sujet avec quelques potes de la commu’ Tickling mais il ne su pas comment se rassurer.

Quelques jours après ce mail, à l’approche du week-end, sa mère lui annonça devoir partir voir une tante pendant le week-end, le laissant seul à domicile. Génial... un week-end tranquille pour pouvoir geeker, ça c’est royal ! Geeker... rien n’étais moins sûr. Le samedi, il reçut un SMS signé de la Brigade. « Sois prêt, on débarque Lucas ». LA VACHE ! Mais c’est quoi ce bordel, il ont mon numéro maintenant et mon prénom ?! Là, ça commençait vraiment à devenir chaud. Mais il ne savait pas quoi faire. Trop honte pour en parler à quelqu’un de sa famille, prévenir la police qu’on lui avait piqués ses données ou je ne sais quoi. Et puis bon, ils ont pas son adresse... quoique... s’ils ont récupéré autant d’infos... Mais c’est quoi ce bordel ?

Il essaya de se détendre devant une partie de Mario Kart, mais l’inquiétude grandissait, une nervosité teinté aussi de fantasmes. Il avait lu des témoignage très chaud sur cette Brigade. A tel point qu’il n’y avait pas cru. Mais c’est peut-être encore un canular ? Et si...
 Quand tout à coup... la sonnette de la porte retenti. Il n’attendait pourtant personne... à moins que ce soit la vo
isine qui ait besoin d’aide ? Il s’approcha donc de l’œilleton pour voir qui était là, et il bondit en arrière. Il y avait là deux mecs, un mec typé arabe assez grand et un autre latino avec une carrure assez impressionnante. Dans la vingtaine tous deux, carrément mignon... mais très intimidants dans cette situation. Dans leurs mains, ils avaient tous deux une grande mallette. Il commençaient à frapper derrière la porte. « Lucas c’est nous, la Brigade. Allez te défile pas, t’as validé le questionnaire, t’étais prévenu mec ! ». Adossé contre la porte, le cœur battant la chamade, Lucas répondit « La vache, mais vous me foutez la pression là, je pensais que c’était des conneries moi. Je vous connaît pas. ».  Un des gars lui dit « Bon écoute, je sais que ça surprend, et c’est le but. Tu nous connaît pas mais nous maintenant on sait beaucoup de choses sur toi, comme le fait que tu es seul pour le week-end. On est là pour te faire vivre la soirée de ta vie. C’est sûr que ça te mets la pression, mais on te veux pas de mal. Par contre, t’auras pas d’autre choix que d’ouvrir ».  Lucas surenchérit timidement « Sinon quoi ? ». Le gars répondit avec un rire « Ben sinon on va augmenter le niveau d’intensité des chatouilles, et si tu hésites trop longtemps on va faire un petit tour chez tes voisins pour te foutre la honte et leur parler de tes fantasmes ». Lucas était abasourdi. Il était coincé. Il avait affreusement peur... et en même temps, la situation improbable piquait ses fantasmes et commençait à le faire bander. De toute façon, il avait pas le choix. Il ouvrit donc.

A l’instant où il allait entrouvrir la porte, un des mecs cale alors son pied dans l’entrée pour ne pas qu’il bloque l’ouverture. Le latino ordonna à son acolyte : « Chope le maintenant ! ». Lucas, sur le qui vive, piqua un sprint dans la maison, mais ne sachant pas où se réfugier, se plaça derrière la table de la salle à manger. Le mec face à lui, un grand sourire sur les lèvres, avec un regard assez sadique sous ses sourcils noirs, lui dit « Tu vas pas jouer à ça longtemps, crois moi ». Le mec latino avait eu le temps de passer derrière lui, en passant discrètement par la cuisine, et le maintient à présent fermement dans ses bras musclés.

Le mec typé arabe lui dit « Bon j’me présente, moi c’est Abdel. Je suis tickler depuis un moment. Lui c’est Javier, et il pratique depuis un moment aussi. On est membre de la Bridage, et notre objectif c’est de prendre du plaisir à faire kiffer les ticklee, surtout ceux comme toi qui fantasment mais ne pratiquent pas. On est désolé de t’avoir fait peur, et on s’excuse d’avoir fouillé ton ordi mais... ». Lucas répondit, avec un ton énervé « Fouillé mon ordi ? Mais vous êtes malades les gars ! C’est illégal... et puis vous me forcez la main là ! ». Abdel lui répond « Si on fait ça comme ça, c’est qu’on sait que c’est un de tes kiffs, on a vu le genre de vidéos que tu regardes et qui te fait kiffer ». Lucas était encore plus soufflé. Abdel enchaîna « Bon maintenant, on va te bander les yeux et te désaper car t’auras pas besoin de tout ça pour ce qui va suivre ».

Lucas tenta de lutter, mais la prise de Javier était ferme, et il lui attachait déjà les mains arrières. Abdel ouvra sa mallette... remplie d’ustensile de tickling ! Il y a avait là tout : plumes, pinceaux, brosses... Lucas était impressionné et aussi un peu mal à l’aise face à tout cela. Abdel attrapa un ciseau et un masque, enfila ce dernier sur les yeux de Lucas, et commença à découper les vêtements de son ticklee du jour. Lucas prtesta « Mais mes vêtement ! Vous êtes malades ! ». Javier plaça sa main moite sur la bouche de Lucas et lui susurra à l’oreille avec son accent hispanique : « Chut, te plains pas, t’avais pas mentionné ça sur le questionnaire mais, petit cachottier, on a bien vu que ce genre de chose te plaisait ». En effet, Lucas commençait à sérieusement bander. D’ailleurs, il ne restait à Lucas plus que son boxer et ses chaussettes, et les deux bourreaux pouvaient admirer la bosse qui s’était formée à son entrejambe. « Ha bah tu vois, tu aimes ça, racontes pas de connerie... allez maintenant on passe aux attaches ». En quelques instants, sans trop comprendre comment, Lucas se senti basculer sur une sorte de table mouleuse (un tapis sur sa table à manger ?) sur laquelle Abdel et Javier le sanglaient méthodiquement, en commençant par les poignets et les chevilles. Bientôt il ne pouvais plus rien bouger. Il sentis ses chaussettes lui être retirées, et l’air caresser ses plantes de pieds désespérément vulnérables. Il était affolé, son cœur battais la chamade. Il allait être chatouillé non pas par un mais deux mecs qui semblaient connaître tout de ce ses kiffs les plus intimes.

Abdel s’éclaircit la voix et d’un air solennel annonça : « Ainsi tu es prêt, tu es livré à la Bridage Tickling et tu vas connaître progressivement TOUT tes fantasmes. Tu ne pourras que subir, tu seras notre jouet et tu sera poussés à tes limites, mêmes celles que tu t’imagines pas. Lucas, on te souhaite une très belle soirée en notre compagnie. »

Et aussitôt, il commença à sentir un frôlement sous sa plante de pied. Un tout petit frôlement, doux mais assez inattendu pour lui faire lâcher déjà un rire. Purée... déjà. Abdel commenta « Ooooh mais c’est qu’il est vraiment très sensible ce pied ». Ce devait sûrement être une plume. C’était fou comme c’était terrible comme sensation. C’était très léger mais, pourtant, ça laissait comme une légère démangeaison après son passage, et c’était irrésistible, hyper agréable mais en même temps insupportable. Il n’arrivait pas à maîtriser ses rires, ce qui faisait glousser ces deux bourreaux. Javier lui susurra de nouveau à l’oreille « Vu comme t’es sensible, ça va être ta fête mon gars ! ». Ce dernier se saisit manifestement d’une autre plume et se mit à titiller l’autre pied. Voilà maintenant les deux plumes frôlant tantôt la plante des pieds de Lucas, tantôt les côtés, et remontant petit à petit vers ses orteils. Lors du premier coup entre ses orteils, Lucas lâcha un cri. Il ne s’attendait pas à une sensation si vive. « On tiens quelque chose là, on va travailler ça » s’enorgueillit Abdel. Et voilà une salve de frottement de plume entre les pieds. Les deux bougres écartaient les doigts de pieds et frottaient leurs longues plumes avec vigueur, faisant tourner la plume en même temps. Bientôt, les plumes semblèrent se démultiplier. Une posée entre chaque orteil. Javier lança « Tu es prêt ? ». Lucas hurla « Non, non, non : ». Abdel « A 3, 2... » et sans attendre le zéro commença à tirer toutes les plumes entre tous les orteils de Lucas. Lucas hoqueta de surprise, sentant entre chacun de ses orteils une longue plume dévorante, faisant hurler ses nerfs chatouilleux. Javier commenta « Il a l’air en extase notre Lucas là, hein tu aimes ça ? ». Ce à quoi Lucas répondu un timide « Oui ». Il se sentait rougir, il était complètement perdu, shooté par l’adrénaline du moment.

Abdel continua « Bon, ça c’était la mise en bouche, maintenant on va commencer à être plus sérieux tous les deux ». Lucas, pourtant un peu perdu dans ses sensations, ne pu retenir un nouveau frisson. Il senti les doigts d’un des deux ticklers commencer à grattouiller la plante de ses pieds. Lucas tentait vainement de bouger ses pieds vulnérables, sans succès. Chaque coup d’ongle était encore plus terrible que la plume. Il sentais qu’ils exploraient méthodiquement toutes les zones de son pied. Et ils montaient progressivement vers les orteils. Soudain, il sent la main d’une de ses tortionnaire bloquer ses orteils en arrière. Et les ongles attaquèrent la base de ses orteils, avec une voracité inattendue. Il ne pouvait plus cesser de rire. C’était terrible et à la fois tellement bon... bien qu’il était encore masqué et affolé par ces chatouilles, il sentis quelqu’un bouger derrière lui. Sûrement Javier. Ce dernier, comme à son habitude, se pencha sur son oreille et lui chuchota « Ok tes pieds sont carrément sensibles, mais si on explorait un peu plus haut ? ». Et il se mit à frôler, de manière de plus en plus insistantes ses côtes, à la base du ventre. C’était tout aussi terrible, d’autant plus qu’Abdel continuait de jouer avec ses pieds avec ses ongles vicieux. Lucas riait tellement qu’il commençait à en avoir mal aux zygomatiques. Javier remontait ses doigts vers les aisselles, ce qui crispa Lucas. Javier comprit aussitôt que la zone était redoutée, et il s’amusa à monter vers les aisselles sans toutefois les frôler pour faire monter la pression à Lucas. Ce dernier n’en pouvait plus, il appréhendait tellement qu’on explore la sensibilité sde ses aisselles qu’il en étais presque prêt à lui hurler « Vas y qu’on en finisse ». C’est à ce moment qu’il y pensait que Javier les attaqua. Lucas senti une urgence de devoir refermer cette zone sensible, mais les attaches le bloquaient complètement. Il luttait, les attaques tendaient les attaches, ce qui fit rire Javier, mais n’eut aucun autre effet. Il était foutu... Il était ivre de rire, complètement perdu à la merci de la Brigade.

Abdel et Javier, d’un commun accord, cessèrent les chatouilles. Lucas reprit son souffle, et on lui offrit un verre à boire, afin de reprendre quelques forces. Il s’exprima, avec une voix épuisée « Non mais vous êtes compétement fou... mais j’avoue que j’adore, c’est horrible de kiffer ce truc en fait ». Javier lui répond alors « Oui on sait, ça fait toujours ça aux ticklees... certain nous supplient d’arrêter, mais au font, on sait qu’ils sont au nirvana ». Lucas ajoute « J’avoue, c’est complètement ça, j’me sens comme flotter sur un nuage maintenant que vous avez terminés ». Abdel se mis à rire, suivi par Javier. « Fini, tu crois vraiment qu’on a fini ? Non non, on t’as même pas encore poussé à bout Lucas ». Lucas se crispa. « T’inquiètes on va changer un peu avec un truc que tu vas tout autant adorer ! »

Abdel commença à masser les pieds de Lucas. Bientôt, il commença à embrasser la plante des pieds de Lucas. Lucas se mit à gémir doucement. Il sentait une nouvelle érection monter peu à peu. Il se sentais gêné, mais en proie à une excitation intense, euphorisante, chaude... oh il avait tellement chaud tout à coup. Abdel se mit à lécher ses pieds, ce qui le chatouillais doucement, et à sucer un à un ses orteils. La sensation de cette langue chaude et humide, c’était tellement bon. Il sentait son érection encore plus dure. Javier approcha derrière lui une chaise, il l’entendait crisser sur le sol. Et tout à coup, il se trouva avec une texture chaude et moelleuse sur le nez... oh purée, Javier lui avait mis ses pieds sur le visage. Ils étaient grands, doux, chaud. Lucas ne pouvait se retenir de gémir. Abdel s’arrêta un instant de lécher ses pieds, et dit « Bon et bien maintenant que t’es bien excité, on va libérer ton sexe et on va le travailler. A un moment, tu vas finir par craquer, et là tu va partir pour une séance beaucoup... beaucoup plus intense ! ». Lucas était choqué... il ne s’attendait pas à en arriver là. Avec des pieds sur son visage, il savait qu’il aurait du mal à tenir. C’était beaucoup trop excitant ! Abdel découpa avec ses ciseaux le boxer de Lucas, et fit émerger sa bite. Elle était droite et dure, tendue dans une extase telle que quelques gouttes de liquide séminal commençais déjà à perler à son sommet. « Je crois qu’il est prêt » dit Javier, qui retira ses pieds de son visage. Javier se déplaça, et entrepris de chatouiller son gland avec une plume et un pinceau. C’était les chatouilles les plus excitantes qu’il avait testé, c’était terrible. Il se concentrait pour tenir. Abdel quant à lui s’approcha de sa tête, à lui susurra à son tour « Bon, y’a un truc aussi sur lequel t’as menti dans ton questionnaire, on l’a vu dans ton historique, t’es irrigué par les odeurs mecs ». Lucas hurla « Non ! ». Abdel ajouta « J’ai vraiment chaud dans mes chaussures, c’est con ça fait plusieurs jours que je les porte, et j’me suis même fait un petit footing hier... tu vas déguster l’odeur de mes chaussettes ». Lucas tenta de boucher sa respiration, mais les deux énormes pieds d’Abdel se posèrent sur son visage, les orteils repliés sur son nez. Il ne pû retenir longtemps son souffle, au rythme où Javier frottais la plume sur sa bite. L’odeur était terriblement enivrante, gênante mais si... excitante.

« Oh attends, on va quand même te faire admirer tout ça » Abdel retira le masque de Lucas, qui prit quelques instants pour ne plus être ébloui. Il avait devant lui les chaussettes moites d’Abdel, dont les traces de sueurs étaient bien visibles. Abdel entrepris de retirer ses chaussettes et Lucas fut abasourdit de voir devant lui des pieds ahurissants. Leur teint basané, leur grande taille (sûrement proche du 44) et leurs orteils parfaitement dessinés... c’était un rêve ! Quand Abdel remis son pied sur son nez, de manière ferme, Lucas gémit de plus belle et ne pû s’empêcher de commencer à les embrasser. « J’en étais sûr que t’allais aimer ça » commenta Abdel. Javier demanda alors « Bon, ça y est, on le pousse à bout ? ». Abdel répondit « Allez vas y mec, fait le juter ! ». Lucas entendit un bruit de vibration. Oh putain, un vibreur ! Il pourra jamais tenir comme ça, c’est foutu. Javier attrapa sa bite dans sa main et plaça le vibreur à la base de son gland. Lucas hurla de surprise, la sensation était folle. Il sentait l’éjaculation proche, mais il ne devait pas lâcher, sinon ça allait être pire, bien pire. Mais son corps vibrait déjà au rythme du vibreur, et les pieds odorants d’Abdel le rendaient fou. Il allait, il allait... ouiiiiiii... « Oh la vaaaaaaaache ! » hurlait il. L’éjaculation fut intense et longue, car il n’avait pas eu le temps de se masturber récemment. Il sentais les goutte chaude arroser son ventre. Javier et Abdel étaient hilares. « T’aurais pas dû Lucas, t’aurais pas dû ! ». Abdel retira ses pieds du visage rouge de Lucas, et se mis en quête de mouchoirs pour éponger le fruit de l’excitation intense de sa victime. Lucas quant à lui était semi comateux, partagé entre une sensation de béatitude, de fatigue mais avec toujours une crainte en arrière fond sur la suite des opérations. Il sentais que sa sensibilité était à fleur de peau, exacerbée à son paroxysme.

Javier se rapprocha et lui dit « Bon maintenant, vu que ça va être assez hard pour toi, on va devoir te bander les yeux de nouveau... et te bâillonner.... Abdel, il a kiffé tes odeurs, passes moi une de tes chaussettes ». Lucas ouvrit grand les yeux et réclama un peu de pitié de ses tortionnaires. Abdel renchérit « Non Lucas, désolé, c’était dans le questionnaire, tu as affirmé que tu étais prêt à tester le tickling post-orgasme alors tu dois assumer ». Et sur ces mots, il fourra une de ses chaussette encore chaude dans la bouche de Lucas, et lui banda de nouveaux les yeux. Lucas était de nouveau terrifié, qu’est ce qu’il allaient bien pouvoir faire maintenant ? Jusqu’où allaient-ils aller tous les deux ? Il sentit tout à coup un liquide étalé sous ses pieds... de l’huile, forcément ! Et, après quelques instantsd’attente, terriblement long et stressant, le premier coup de brosse fut comme une déflagration sous ses plantes de pieds. Il poussa un hurlement étouffé par la chaussette. « Sincèrement Lucas, je compatis, là tu vas morfler comme un fou... Et pendant une demi-heure, car c’est le temps que tu estimais pouvoir tenir ». Et la danse terrible des brosses repris son travail infernal. C’était comme si les nerfs de sa plante de pied explosaient sous les chatouilles. Ce n’était pas douloureux, mais c’est juste insupportable, chaque picot de la brosse déclenchant une série de chatouilles amenant sa sensibilités à vriller, à laisser son corps perdu dans ce flot d’informations saturer son cerveau. Tantôt c’était deux brosses en même temps, tantôt une seule d’un côté... sous ses talons, sur ses orteils... il n’arrivait pas à suivre le ballet vigoureux de ses tortionnaires. Et comme si ça ne suffisait pas, un des deux bougres se mit à triturer ses côtes, ses aisselles, les doigts bien huilés et glissant sur sa peau avec une vitesse terrifiante. Il commençait à en pleurer de rire, des larmes se formant sur le coin de ses yeux. Il n’en pouvait plus, n’arrivais presque plus à lutter sur ses attaches, il était en enfer, et en même temps, il se sentait libéré de toute inquiétude, de tout le poids des choses, de son envie de chatouilles dévorantes... il ne pouvais plus penser à rien d’autre qu’à ces sensations qui saturaient son esprit, le droguait en une pure adrénaline et en rire. Lucas était en transe.

Enfin, le tourment cessa, et les gars retirèrent son masque et son bâillon. « Alors t’as trouvé ça comment ? » railla Javier. Lucas ne pouvait plus répondre, il rigolait bêtement, mécaniquement, encore en proie à des sensations fantôme parcourant son corps pourtant libéré. « Et ben, on l’a pas raté, regarde moi ce ticklee en état d’extase ! » commenta Abdel. Ils détachèrent Lucas, et l’aidèrent tranquillement à se relever car il était secoué et épuisé. Il l’aidèrent à aller jusqu’à sa chambre, le déposèrent dans son lit et se mirent à lui masser les pieds tranquillement. Lucas repris peu à peu ses esprit et remercia ces deux bourreaux « Les gars, vous m’avez fait tellement peur... je vous déteste mais je vous adore aussi... j’aurais jamais imaginé ressentir tout ça. C’est complètement dingue ! Franchement, merci... mais laissez moi souffler je crois que j’ai besoin de dormir là ». Abdel et Javier se regardèrent avec complicité, et tout en se faisant un check de la main, se félicitèrent « Encore une mission accomplie pour la Brigade Tickling ».

A qui le prochain tour ?